Le renouvellement pour six ans de la moitié des 340 sénateurs français, dimanche, selon le système d’élections triennales au suffrage indirect, n'a pas apporté de bouleversement significatif des équilibres politiques, ni au sein de la Haute assemblée, ni sur la scène nationale en général. Mais il n’en comporte pas moins un certain nombre d’enseignements.