Ville de Luxembourg: Stop à la dégradation de la „Kinnékswiss“

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Lors de la réunion "City Breakfast" du collège d’échevins, qui s'est tenue mercredi, 24 juin, le bourgmestre de Luxembourg-Ville, Paul Helminger, a fait le point sur certains sujets épineux, tels que la question du budget, des sanctions envers les vandales au Parc Municipal « Kinnékswiss », du quartier à Weimerskirch et ainsi de suite.

En ce qui concerne le budget, Paul Helminger a laissé entendre qu’il espère de tout coeur que le nouveau gouvernement collaborera plus étroitement avec la commune, notamment dans le domaine de l’éducation et du logement, où un manque de transparence et de désencombrement se font encore ressentir. 
Le bourgmestre souhaite en outre que le gouvernement fasse de son mieux pour être conforme avec ce qui a été dit avant les élections. Inquiet au sujet d’une probable diminution des recettes, il s’interroge toutefois sur la manière comment l’État songe « boucher les trous ».

Halte à la profanation

Quant à la « Kinnékswiss », le collège échevinal ne désire qu’une chose, à savoir mettre un terme à une série d’actes de malveillance de la part des gens, principalement des jeunes, envers ce parc. Pour cela, il faudrait mettre en place un système de « sanctions administratives » afin d’agir au plus vite contre ces agissements de vandalisme et d’éviter de passer par le tribunal.

Faciliter l’affectation

Au sujet de l’affectation d’un service à l’autre, la commune de Luxembourg-Ville lance un appel au gouvernement. Prônant plus de flexibilité, le bourgmestre souhaiterait qu’il soit possible de muter un agent d’un service à l’autre ceci grâce à un projet de loi qui le permettrait. Ainsi un chauffeur de bus, n’étant plus en mesure d’assurer pleinement ses fonctions en tant que conducteur, pourrait facilement poursuivre sa carrière dans un service de parking par exemple sans devoir passer par des interminables procédures de nomination.

Enfin, concernant le quartier à Weimerskirch, Paul Helminger tient à mettre au clair certains malentendus. Il est certes vrai que plusieurs maisons (10%) restent inhabitables, mais à juste cause. Celles-ci sont sujettes à des travaux de rénovation qui ne peuvent se faire simultanément. Il ne s’agit donc pas de travaux interminables, mais plutôt d’un travail consciencieux où il faut d’abord s’assurer que les problèmes de stabilité soient réglés avant même d’envisager de passer à la prochaine étape.