Schulpädagogik: Für gesundes Essen muss man zahlen

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Schulministerium reagiert in einer Pressemitteilung auf einen Bericht von tageblatt.lu zum Thema: Preiswucher an Schulkantinen.

Schulministerium reagiert in einer Pressemitteilung auf einen Bericht von tageblatt.lu zum Thema: Preiswucher an Schulkantinen.

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Wucherpreise in Kantine – Schüler gehen auf die Barrikaden

Unser Bericht über die hohen Schulkantinenpreise hat für Aufmerksamkeit bei den Lesern gesorgt. Viele eMails von verärgerten Schülern aus dem ganzen Land haben uns erreicht. Sie beschweren sich alle über die hohen Preise und technische Probleme bei der Bezahlung an ihren Schulkantinen, welche von Restopolis betrieben werden. Auch das Schulministerium hat inzwischen mit einer Pressemitteilung reagiert. Darin begründen sie die Anhebung der Kantinenpreise mit den gestiegenen Marktpreisen. Da drängt sich gleich die Frage auf: Seit wann ist eine Schulkantine auf Gewinn aus?

Preisvergleich

Wir haben einen Preisvergleich gemacht: Ein Croissant kostet bei Restopolis, nach der Preiserhöhung, 1 Euro. Das gleiche Croissant kostet bei einer Backwarenkette 0,83 Euro und bei einem grossen Supermarkt sogar nur 0,64 Euro. Das gleiche Preisverhältnis gilt für eine Schnecke. Für „eng Achtchen“ blättert man bei Restopolis sogar 1, 10 Euro auf den Tisch, im Supermarkt 0, 84 Euro. In der Pressemitteilung schreibt das Schulministerium weiter: Bei Gebäckwaren sei der Aufwand sowie die Personalkosten hoch. Mag sein, der Aufwand und die Personalkosten sind auch bei Supermärkten und Bäckereien hoch.

4 Euro für ein Schulessen obwohl es subventioniert wird.

Für ein Menü an einem Lycée muss man 4 Euro bezahlen. Für viele Eltern ist dies zu teuer. Die nahegelegenen Supermärkte und Kioske sind teilweise günstiger. Selbst Studenten an Universitäten kommen da besser weg. Ein Blick über die Grenze: Ein Essen an der Universität Trier für Studenten kostet 2,10 Euro. An der Universität Mainz gilt der gleiche Preis. An einer Pariser Uni zahlt man im Durchschnitt 2,50 Euro für eine Mahlzeit.

Man bekommt den Eindruck, den Kindern bleibt keine Wahl, sie werden gezwungen, das teuere Essen zu kaufen um mittags eine warme Mahlzeit zu haben. Hinzu kommt noch: Wenn Kinder auf Grund der teureren Essen abends mit Hunger nach Hause kommen und dann den hungrigen Magen mit einer großen Portion Essen stillen (ob gesund oder nicht), so ist dies schlussendlich vom Ernährungsstandpunkt aus gesehen blödsinn – dieser geht eigentlich von mehreren Mahlzeiten pro Tag aus und warnt nun gerade vor diesem sogenannten Hungeressen.

Nur durch eine langfristige Änderung der Lebensumstände kann es zu einer sinnvollen und dauerhaften Gewichtsreduzierung kommen – dazu gehören neben der Nahrung auch Bewegung, Sport. Wir bleiben weiter am Ball.

Adaptation des prix des viennoiseries et des produits laitiers vendus dans les lycées

Les prix des viennoiseries et des produits laitiers vendus dans les restaurants scolaires de l’enseignement post-primaire ont été augmentés à la rentrée scolaire 2008/2009. Cette augmentation fait actuellement l’objet de contestations de la part des comités d’élèves de certains lycées.

La hausse intervient à la suite de l’augmentation générale du prix de marché de ces produits, due notamment à l’enchérissement de la matière première de base qui rentre dans leur confection (farine, céréales, beurre, lait …). En effet, le ministère n’avait pas adapté les prix de vente depuis septembre 2007.

Deux raisons expliquent pourquoi le prix des viennoiseries et des produits laitiers vendus dans les écoles ne peuvent pas être inférieurs au prix de marché :

D’une part, contrairement aux menus complets ou partiels proposés dans les restaurants scolaires, les viennoiseries ne sont pas subventionnées par le ministère. Il s’agit de produits finis qui sont achetés auprès de fournisseurs et qui font l’objet d’une re-vente. D’autre part, la vente de ces produits dans les écoles engendre un sur-coût pour l’exploitation des restaurants en termes de frais de personnel et de gestion.

Par ailleurs, suivant les recommandations du ministère de la Santé, les viennoiseries sont à consommer avec modération. Or, il s’avère que nombre de jeunes ont l’habitude de consommer plusieurs pièces par jour, consommation qui se substitue souvent au repas équilibré proposé à midi.

Le ministère a pour mission de proposer une prestation alimentaire saine et équilibrée et favorise une nourriture à base de fruits, jus de fruits, pain complet, céréales, etc. Dans ce but, il subventionne des menus complets ou partiels qui sont vendus à un rapport qualité-prix imbattable, à savoir :

– un menu complet au prix unitaire de 4 € composé de 1 entrée, 1 plat protidique, 1 féculent, 1 légume vert et 1 dessert;

– un menu partiel au prix unitaire de 3.60 € composé de 1 entrée ou 1 dessert, 1 plat protidique, 1 féculent, 1 légume vert.

De même, dans le cadre d’une amélioration des prestations des ventes à emporter, une nouvelle gamme de sandwichs de qualité a été mise en place, basée sur l’utilisation de pain traditionnel et de garnitures du terroir. Une étiquette renseigne sur la composition du produit et les valeurs nutritionnelles. Vu la hausse des prix de la matière première et l’extension de l’offre de garnitures, les prix des sandwichs vendus dans les écoles connaissent aux aussi une légère hausse, qui reste cependant en dessous de celle imposée pour les viennoiseries.

Le Service de la restauration scolaire du ministère est à la disposition des lycées et lycées techniques pour toute information complémentaire.

(communiqué par le ministère de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle)