Hommage à Grichka BogdanoffMon frère d’âme en son ultime voyage étoilé de décembre Il aimait les étoiles. Il était lui-même un astre. La lumière brillait toujours, irradiante, précieuse comme une gemme, dans ses yeux restés toujours ouverts, loin de toute banalité comme de toute médiocrité, sur l’ineffable mais puissant, inépuisable mais fécond imaginaire de l’enfance: une innocence en quête de rêve, d’au-delà, d’infini, d’absolu, d’immensité et de beauté, d’autres...
StandpunktDie Beerdigung des Laissez-faire-Zombies: Weg vom oberflächlichen Staat-versus-Markt-Narrativ
ForumMoi, moi, moi ! … Et les autres ? La liberté des uns s’arrête là où commence la liberté des autres.