DANIÈLE FONCK
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Ainsi eus-je une larme de joie à l’oeil hier après-midi après avoir soutenu haut et fort la Serbie. Maigre consolation toutefois après ma larme de désespoir profond dû à l’équipe de France. Que dis-je? L’équipe? Non, le cavalier seul de onze joueurs trop gâtés, trop égoïstes, trop arrogants pour se plier aux exigences du collectif, avec ou sans sélectionneur.
Domenech eût peut-être tous les défauts. Mais en dernière instance ce sont les joueurs qui marquent ou qui échouent, qui ont ou non le sens de l’honneur, du travail, de leur rôle d’ambassadeurs. Or les Anelka, Govou, Ribéry et compères (à l’exception louable de Lloris et de Malouda) ne firent preuve ni de talent, ni d’enthousiasme, ni de sens tactique, ni de réalisme.
Le mondial étant pour ainsi fini pour ces pâles divas, il ne reste plus qu’à les transporter directement dans le Var où ils pourront aider à la reconstruction. Cela leur fera grand bien et à défaut de savoir utiliser leur pied, ils pourront œuvrer à la force de leur poignée.
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