4e édition Lëtzebuerger Filmpraïs : Un monde du cinéma durable…

„Réfractaire“, „Dust“, „Panique au Village“, „House of Boys“, „In Thierry View“, „Léif Lëtzebuerger“, „Räuberinnen“, „Chasseurs de dragons“, sont autant de films qui vont entrer en compétition pour se voir remettre après une statue réalisée par l’artiste Patricia Lippert. En tout, huit prix vont être décernés, à savoir le prix du meilleur court-métrage, du meilleur documentaire, de la meilleure coproduction, de la meilleure contribution artistique, de la meilleure contribution technique, du meilleur film luxembourgeois, de la meilleure animation et enfin celui du public. C’est un jury intransigeant composées de sept membres qui tranchera. L’actrice et réalisatrice Désirée Nosbusch, le critique de cinéma Boyd van Hoeij, Viviane Reding, membre de la Commission européenne,  le chef opérateur et caméraman Klaus Peter Weber , le professeur de l’Université du Luxembourg Frank Wilhelm, ainsi que le réalisateur Dan Wiroth décideront entre 15 courts-métrages, 18 coproductions, trois longs-métrages luxembourgeois („Réfractaire“, „Dust“, „House of Boys“), dix documentaires et enfin sept films d’animations.

Plus sur les films sélectionnés sur:

http://filmprais.blogspot.com/ Parallèlement, se dérouleront les Journées du Film Luxembourgeois qui s’articuleront autour de quatre avant-premières de films qui sont en compétition et de deux Ciné-Conférences qui auront lieu à la Cinémathèque.

« Emouvoir le public »

Tous les résidents luxembourgeois ayant participé à une contribution filmique au Luxembourg sont pris en compte. Car suivant François Biltgen, ministre des Communications et des Médias, l’importance est de mettre en lumière le milieu des productions cinématographiques au Luxembourg ou en collaboration avec le Grand-Duché. Le Lëtzebuerger Filmpraïs ne concerne « pas seulement le film luxembourgeois, mais tout l’univers du cinéma ». a-t-il souligné.
Le plus important est « d’émouvoir le public, d’en trouver un » dans le but de développer les réalisations luxembourgeoises à l’étranger ainsi que sur le territoire luxembourgeois. C’est ainsi qu’il sera possible de « commercialiser » ce secteur.