Il était crucial, selon S. Wilmes, ministre de l’Environnement, de trouver un accord à la COP29, un arrangement qui satisfait les pays riches.
Il n’était pas question de faire payer les polluants. Les ONG voulaient pourtant 1.000 milliards de dollars pour aider efficacement les pays en développement sur les questions d’environnement.
Mais les vannes publiques des pays riches ne sont, selon Wilmes, pas illimitées.
Car elles sont destinées à couvrir les frais grandissants d’armement et à subventionner une politique économique où l’intérêt profit domine.
L’arrogance des représentants des pays riches se trahit parfois par leur vocabulaire, du genre „nous avons accepté une augmentation du financement climatique“. 300 milliards gracieusement accordés sont en réalité insuffisants pour aider les pays en développement. Mais à la COP29, „l’on“ s’est arrangé sur ce montant dérisoire et inefficace.
N’empêche que quelques-uns, comme le Luxembourg, contournent les voies officielles en investissant via une plateforme de financement privé, façon de faire fructifier l’argent mis sur la table.
Ce sont ces modèles-là que l’on doit privilégier, pas les ONG, selon certains politiciens.
L’Accord de Paris sera difficilement atteignable, la COP29 est celle de la désillusion, elle n’apportera rien, ni sur le plan climatique ni sur le plan d’une responsabilité politique équitable!
De Maart
Question: Que font les pays de développement de cet argent? Sont-ils régis par des warlords ou des présidents corrompus ou cet argent servira-t-il a coup sûr au développement ( écologique !! ) de ces pays?