„On ne pouvait pas tout faire en même temps, surtout des choses aussi opposées que vivre et écrire“, écrit Arthur Larrue dans son métaroman déjanté „Orlov la nuit“. „Ecrire revenant sinon à mourir, du moins à s’abstenir de vivre“, continue son narrateur omniscient. Vivre revenant à refuser d’écrire, à être à ce point lancé dans...