Rentrée scolaire: 3.015 petits Eschois se mettent dans le bain

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Mercredi, 23 septembre, le collège échevinal d'Esch-sur-Alzette a tiré le bilan de la rentrée scolaire qui s'est présentée cette année sous un tout nouveau visage, relookée par la nouvelle loi récemment entrée en vigueur.

En résumé, la rentrée scolaire s’est- suivant Jean Tonnar, échevin en charge des affaires scolaires- bien déroulée. Le nombre d’élèves est resté quasi invariable et les nouveautés apportées par le réforme scolaire n’ont pas trop chamboulé la vie des 3.015 écoliers et des 227 enseignants.
Cela dit, la commune d’Esch-sur-Alzette s’attend à un boum, à savoir à une densité démographique croissante et elle se prépare donc à accueillir les nouveaux arrivants attendus dans les deux, trois ans, en prévoyant des nouvelles écoles.

Information

Force est cependant de constater que la nouvelle réforme apporte indéniablement des grands changements dans l’éducation. Et dans ce contexte, il est dans l’intérêt des Eschois de renseigner sur les nouveautés apportées à l’enseignement primaire, désormais appelée enseignement fondamental. C’est un priorité chère à Jean Tonnar.
Dans ce cadre, le collège échevinal envisage de publier une brochure adressée aux parents et élèves reprenant toutes les informations nécessaires. Il tient aussi à informer la  population que les écoles sont dorénavant réparties en sept entités, notamment une à Brill, Brouch, Dellheicht, Lallange,… Chacune est censée regrouper « un cycle complet, y compris le précoce ». Et bien que la commune d’Esch-sur-Alzette voyait dans les maisons relais un bâtiment à double emploi capable d’accueillir l’enseignement précoce, elle est bien consciente que cela relève de l’impossible, vu que cela implique deux ministères. Tout est donc mis en oeuvre pour respecter les nouvelles conditions de la réforme scolaire et de reprendre tout dans une seule entité.

Nouvelle technologie

Le collège échevinal projette aussi de lancer un projet pilote dans une à deux écoles qui seront prochainement munies de tableaux numériques, ceci afin de rester dans la tendance et d’offrir le meilleur du meilleur aux élèves de la métropole du Sud. Ce projet ne sera pas des moindres, puisque rien qu’un ordinateur peut coûter jusqu’à 35.000 euros, prix à discuter évidemment.