Jamais l’imaginaire de la fin n’était autant à la mode que de nos jours. Entre accidents nucléaires, pandémies ravageuses ou catastrophes nucléaires, l’imaginaire de la fin est aussi varié que les paysages en ruine qu’il évoque sont monotones. Le Tageblatt a passé des jours dans les mondes de cendres et de débris des romanciers contemporains...