Sponsored Content40 ans de Maison du Lit

Sponsored Content / 40 ans de Maison du Lit

Des nuits aussi belles que le jour.

Madame Kandel est douce et affable. Quoi de mieux dans un univers qui offre un panel de literies et matelas en tous genres ? La Maison du Lit fête cette année ses 40 ans d’existence et, à ce titre, la femme qui fait perdurer l’ADN de l’entreprise nous reçoit en ses bureaux de Strassen.

Chère madame, pouvez-vous nous raconter l’histoire de cette entreprise familiale qu’est Maison du Lit ?

Le premier magasin Literie Kandel a vu le jour en 1983, à Esch-sur-Alzette, fondé par feu mon époux, Lucien Kandel. Il était eschois et moi de la ville (sourires). Nous nous rendions deux fois par an à la foire et les clients de la ville de Luxembourg n’avaient de cesse de nous réclamer un magasin plus proche. Afin de satisfaire notre clientèle et dès que l’op­portunité s’est présentée, nous avons ouvert un magasin à Bereldange ! C’était en 1999.

Entre-temps, mon mari a repris L’enseigne Maison du Lit. Le fondateur initial se savait condamné et a demandé à mon époux de re­prendre ses parts. Il faut dire que nous avions initialement quelques marques en commun. Nous avons donc repris la Maison du Lit de Bertrange. En 2017, le bâtiment a été abattu et nous avons alors établi nos locaux à Stras­sen. Depuis lors nous y sommes installés. Au début, les gens nous cherchaient, notre emplacement était difficilement visible de la route d’Arlon. C’était avant que Google nous insère sur Maps (rires).

Quelles sont vos fonctions au sein de l’entreprise ?

Monsieur Kandel, mon mari, nous a quitté en janvier 2022. Il était déjà à la retraite depuis quatre ans et j’officiais dans la société depuis longtemps, j’avais donc repris la relève en douceur. J’ai vu les choses évoluer petit à petit, je me souviens notamment de l’époque où les gens venaient cérémonieusement acheter leur literie. Dans les années 80, on achetait un lit pour Noël avec les étrennes. Nous savions que nous ferions immanquable­ment des heures supplémentaires le soir du 24 décembre… C’était un autre temps.

Justement, pouvez-vous nous parler des modes en termes de matelas, des évolutions autour de la literie ?

Ah ! Vous souvenez-vous de la vogue des matelas à eau ? Ils ont eu leur moment de gloire même si cela est révolu… mais reviendra peut-être. Ce fut une vague d’engouement, c’est le cas de le dire. Or, une bonne literie doit apporter du soutien, mais également un confort. L’eau ne fait qu’épous­er les lignes du corps.

On pourrait dire que Tempur est le remplaçant avec cette nouvelle technologie de la mousse à mémoire de forme. C’est une matière qui s’adapte à la morphologie du corps. Dans le temps, le Latex avait une très bonne re­nommé. Dorénavant, le geltex l’accompagne. C’est une matière qui offre une densité et un accueil différent. Comme le Tempur, le matériau s’adapte à la morphologie du corps et régule également mieux la transpiration, permettant une durée de vie du produit aussi longue que ses concurrents.

Quoi qu’il en soit, un lit parfait pour tous, cela n’existe pas. Nous sommes justement là pour accompagner chaque client dans la recherche de ce qui lui conviendra le mieux. Evidem­ment, les surfaces d’habitation se faisant parfois plus petites, l’engouement pour les lits-coffre avec système de rangement en dessous ne se dément pas. En ce moment, l’engouement est autour du boxspring, mais tout le monde à tendance à confondre le design et le couchage boxspring. L’avan­tage premier est que l’on n’a pas besoin de soulever le matelas pour faire son lit. Les sur-matelas sont, de fait, apparus avec les boxspring. En effet, les matelas à ressorts offrent un soutien différent. Les sur-matelas ont alors toute justification, car ils apportent un confort cocooning. Ajoutons également l’intérêt des jeunes pour le bois, évocateur de chaleur et de qualité et peut-être aussi rémi­niscence des souvenirs autour des meubles parentaux (sourires).

Alors justement comment être sûr d’avoir fait le bon choix en matière de literie ?

Il convient de questionner la personne. Aime-t-elle être couchée sur du ferme ou plutôt du souple ? A-t-elle tendance à transpirer beaucoup, souffre-t-elle d’une pathologie particulière ? Quoi qu’il en soit, il faut toujours garder en ligne de mire le soutien de la colonne vertébrale et l’adaptation du matelas au corps. D’un point de vue plus général, pen­dant le confinement, nous avons eu à gérer des cas urgents suite à des chutes, accidents, maladies. Et le retour aux voyages quand la vie a repris son cours, les incitent à comparer leurs literies à celles des hôtels… et parfois à changer tout leur univers de sommeil ! Oui, de ce fait nous rentrons un peu dans l’intimité des gens, mais avec délicatesse et bienveillance et dans le but d’apporter toute satisfaction. C’est finalement un bien joli rôle qu’est le nôtre.

Avez-vous des anecdotes particulières sur la durée que peuvent prendre les gens pour choisir leur literie ?

Les jeunes qui n’ont aucun problème de dos ou de santé en général, s’attarde plus sur le design et peuvent arrêter leur choix très rapidement. A contrario, nous avons une anecdote amusante : un client désireux de changer de literie, est venu tous les jours pendant plusieurs jours pour tester un à un chaque matelas. Il s’installait et était si discret qu’un soir, nous avons failli l’enfermer dans le magasin ! Il a fini par acheter… plusieurs matelas.

Chère madame, nous sommes nombreux à nous casser la tête avec la hauteur des matelas quand il s’agit d’acheter des draps housse !

Oui, vous avez raison (rires). Il est à noter que la hauteur des draps housses a évolué avec le temps. De 13 centimètres à 21 centimètres sur Lattoflex, par exemple. En boxspring, nous passons à 30 centimètres ! N’ayez crainte, les fournisseurs se sont adaptés (sourires).

Avez-vous des projets et ambitions pour Maison du lit dans les années à venir ?

Depuis le début de mon activité dans le sec­teur, j’observe que les demandes ont évolué. Auparavant il y avait la chambre à coucher traditionnelle, concept aujourd’hui en perte de vitesse. Dorénavant l’aménagement intérieur suppose souvent un dressing dans une pièce à part entière. Ainsi donc, nous nous sommes attelés à proposer une belle gamme de dressings, nous accompagnant même de l’expertise d’un menuisier pour les demandes très précises. Mon ambition est d’offrir à la clientèle l’éventail de tout ce qui se fait autour du monde du sommeil. Ainsi, nous proposons également des aménagements personnalisés pour équiper les intérieurs de la cave au grenier.

Grande satisfaction, depuis deux années, nous équipons aussi des hôtels, comme par exemple l’hôtel Monvillage et l’Hostellerie de Grünewald ! Et j’espère bien que cela n’est que le début. Nous proposons également depuis 20 ans, des assises pour se relaxer ainsi que des canapés-lits de qualité. Certains sont extrêmement confortables, confections italiennes ou suisses obligent. Nos fournis­seurs de linges de lit et couettes sont égale­ment de bonne confection, offrant une qualité constante dans le temps. Si on jouit d’une bonne literie, l’oreiller représente seulement dix pour-cent de la qualité du sommeil.

Last but mot least, nous sommes vigilants à notre empreinte environnementale et à l’im­pact du recyclage. Nous avons un container toujours à disposition qui permet un recyclage professionnel. Nous bénéficions du reste de l’Ecolabel depuis une vingtaine d’années. L’autre grand projet sera de tout informatiser ce qui n’est pas une mince affaire ! Literie Kandel et Maison du Lit seront alors unifiés pour devenir Maison du Lit by Kandel. Cela permettra d’informatiser le fichier clients bien sûr, mais aussi de fluidifier les différents processus tels que commandes, livraisons etc. Quand tout cela sera opérationnel, je m’imagine bien trouver un autre point d’expo­sition dans le pays.

Et votre avenir personnel ?

Ayant eu le bonheur d’avoir mis au monde quatre enfants, je m’imagine qu’un d’eux reprendra l’affaire qui symbolise une belle histoire familiale et que Maison du Lit by Kandel va continuer à vivre de belles années et offrir de doux rêves. Cela me peinerait que les choses s’arrêtent après tout le travail qui a été réalisé depuis des décennies.

Pour finir, chère madame, que pou­vez-vous nous révéler des festivités qui célèbreront les 40 ans de Maison du lit ?

Nous avons loué un chapiteau qui accueill­era nos clients, fournisseurs et amis. Il sera également là pour proposer nos produits de stock à des prix très compétitifs et ce durant une période de quatre semaines. Il sera possi­ble d’acquérir de la literie à 50 % de son prix initial. Un anniversaire qui se transforme en aubaine pour tous !