Suspicion de chikungunya chez une résidente des Hauts de Seine

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Un cas \"possible mais non confirmé\" de chikungunya se serait révélé chez une habitante de Gennevilliers (Hauts de Seine), a indiqué mardi la Direction générale de la santé, suite à une information publiée par plusieurs médias.

Un cas „possible mais non confirmé“ de chikungunya se serait révélé chez une habitante de Gennevilliers (Hauts de Seine), a indiqué mardi la Direction générale de la santé, suite à une information publiée par plusieurs médias.
Selon ses déclarations, la jeune femme, qui se prénommerait Hélène, n’aurait pas quitté l’Hexagone au cours des derniers mois. Selon la direction de la santé, interrogée par l’AFP, il y a un „soupçon“ et „des analyses en cours“. „La symptomatologie est non typique et la sérologie douteuse“ dans l’analyse déjà effectuée, incitant à de nouvelles analyses, précise-t-on.
De même, au ministère, on parle de „résultats d’analyse pas conclusifs“ et de „sérologies discordantes“, avec des éléments divergents dans l’analyse déjà effectuée.
Sur RTL, la jeune femme a indiqué qu’un médecin l’avait appelée pour lui dire que des tests révélaient qu’elle était „positive au chikungunya„, après qu’un autre lui eut seulement parlé d’une „forme de dépression“ se traduisant notamment par de la fatigue. Le site du Nouvel Observateur, premier à donner cette information, assure que cette femme d’une trentaine d’années „a contracté le virus au début du mois de juillet“, et présente „tous les symptômes typiques, douleurs articulaires, fièvres, éruption cutanée, maux de tête, fatigue“. Selon d’autres informations, son mari travaillerait à Rungis. Le Parisien parle quant à lui de simple „suspicion“, et rappelle que le moustique a été repéré dans plusieurs départements, mais tous dans le sud-est de la France.
L’an dernier, rappelle-t-on au ministère, 40 cas ont été suspectés, tous dans le sud de la France et tous d’importation, et 8 ont été confirmés. La ministre de la Santé Roselyne Bachelot avait mis en garde, vendredi à Nice, contre les risques d’épidémie de chikungunya et de dengue en France métropolitaine tout en annonçant un renforcement du plan de lutte existant contre ces maladies.